Bonjour Marco
Merci pour ton attention a mon travail. Comme tous les navires de cette époque comme tu le sais, la partie la plus vulnérable, c'est la poupe . Les défenses....Plus ou moins illusoires ,c'est l'épaisseur du pavois et pour repousser l'adversaire qui s'apprête a vous tirer un meurtrier tir d'enfilade, vous en êtes réduit a déplacer une ou deux pièces de gaillard pour tirer en retraite a travers les sabords de retraite qui ne sont pas armés.
Dans son livre la frégate, Mr Boudriot indique par exemple que les frégates de 8 n'avait pas d'artillerie de gaillard ou tres peu et que cet armement était fluctuant, les commandants, selon leur désir armaient ou non leur bâtiment de pièces de gaillard supplémentaires. Cet armement augmentait tres peu la puissance de feu du navire. Par contre, il compromettait la marche et la stabilité de celui-ci.
Pour les frégates de 12 et 18 , le problème reste entier et identique aux frégates de 8.
Les pierriers n'ajoutent que l'augmentation de la puissance de feu de la mousquèterie de l'infanterie marine,lorsque les combattants des deux bords arrivent suivant l'expression a portée de pistolets.
A pluche Amicalement JJ